Le Prix Napoléon III

Fondé en 1981, grâce à la Ville de Biarritz, et financé en 2013 par la Ville de Rueil-Malmaison, le Prix Napoléon III a récompensé, au cours de dix-neuf éditions, un ensemble de vingt-ouvrages consacrés au Second Empire et à Napoléon III.

1966

Robert AGERON, De l’Algérie algérienne, de Napoléon III à de Gaulle (éditions Simbad).

1966

Alain DECAUX pour l’ensemble de son oeuvre historiographique consacrée au Second Empire.

1966

Claude DUFRESNE, Morny, l’homme du Second Empire (Perrin).

1966

Jean AUTIN, Les frères Pereire, le bonheur d’entreprendre (Perrin).

1966

Colonel WILLING, L’armée de Napoléon III (Musée de l’Armée).

1966

Pierre PELISSIER, Émile de Girardin, prince de la presse (Denoël).

1966

Louis GIRARD, Napoléon III (Fayard).

1966

Inès MURAT, La Deuxième République (Fayard).

1966

Jean des CARS, La Princesse Mathilde (Perrin).

1966

Stéphane AUDOIN-ROUZEAU, 1870 : la France dans la guerre (Armand Colin).

1966

Philippe SÉGUIN, Louis-Napoléon le Grand (Grasset).

1966

Frédéric BARBIER, La dynastie des Fould (Armand Colin).

1966

Françoise WAGENER, La reine Hortense (Jean-Claude Lattès).

1966

Jean-Marie ROUART, Morny, un voluptueux au pouvoir (Gallimard).

1966

(1er prix) Jean-Jacques LEFRERE, Arthur Rimbaud (Fayard) et (2nd prix) Robert LAMOUCHE, 1840 – 1846 : le prisonnier du fort de Ham (La Vague verte)

1966

Jacques-Olivier BOUDON, Paris capitale religieuse sous le Second Empire (Le Cerf).

1966

Jean-Claude YON, Le Second Empire : Politique, Société, Culture (Armand Colin).

1966

Jean SAGNES, Les racines du socialisme de Louis-Napoléon Bonaparte (Privat).

1966

Ex-aequo Alain CARTERET, Napoléon III le Provincial (SOTECA) et Steve SAINLAUDE, Le gouvernement impérial et la guerre de sécession et La France et le Gouvernement sudiste (L’Harmattan).