Le Prix Mérimée

Initié par Les Amis de Napoléon III en 1985, le Prix Mérimée récompense tous les deux ans la meilleure thèse consacrée au Second Empire et au règne de Napoléon III. Il est traditionnellement remis, à l’automne, au Palais de Compiègne.

Créé en 1985 grâce à la Ville de Nice, le Prix Mérimée disparaît après sa secondé édition en 1988 avant d’être refondé en 2007 grâce à la Ville de Compiègne.

Initialement présidé par Fernand Beaucour puis, à sa recréation, par Georges Poisson, le jury du Prix Mérimée est aujourd’hui présidé par Éric Anceau, maître de conférences à l’université Sorbonne-Université.

1966

Alain PLESSIS, « La Banque de France sous le Second Empire ».

1966

Catherine PAQUOT, « Le chimiste Henri Sainte-Claire Deville : sa vie, son oeuvre (1818 – 1881) ».

1966

Matthieu BRÉJON DE LAVERGNÉE, « La Société de Saint-Vincent-de-Paul sous la Monarchie de Juillet et le Second Empire. »

1966

Juliette GLIKMAN, « L’imaginaire impérial et la logique de l’histoire : étude sur les assises du régime impérial ».

1966

Yves BRULEY, « Le Quai d’Orsay sous le Second Empire ».

1966

Xavier MAUDUIT, « Le Ministère du faste : la Maison du président et la Maison de l’empereur (1848 – 1870) ».

1966

Fleur BASTIN-HÉLARY, « Le roman viril : fictions et dictions du féminin chez Zola, des Contes à Ninon à Justice« , et Shabahang KOWSAR, « L’Art de paraître dans le portrait photographique sous le Second Empire. »

1966

Lyne PENET, « Théophile Sylvestre (1823 1876), critique d’art ».

1966

Arthur HÉRISSON, « Les Catholiques français face à l’unification italienne (1856 – 1871) ».